Cette semaine, nous dédions le blogue à la promotion de l'affichage. Espresso Média est très motivée par la créativité sous toute ses formes alors nous désirons vous inspirer en vous partageant quelques unes des meilleures exécutions publicitaires internationales de la dernière année en affichage.

Aujourd'hui, nous vous partageons les meilleures exécutions publicitaires dans le milieu du voyage et du transport.

imageJe vous partage une belle découverte d'un lecteur. Google a récemment partagé sur son blogue les détails de son RevShare, soit son partage de revenus, pour les éditeurs qui acceptent d'héberger des annonces Google (Google AdSense) sur leurs sites.

 

GOOGLE ADSENSE, C'EST QUOI ?
Pour ceux qui sont moins familiers avec Google Adsense, c'est la régie publicitaire de Google utilisant divers sites Web partenaires (Cyberpresse, blogues, forums de discussion, etc.) comme support pour ses annonces. Celles-ci sont le plus souvent contextuelles, mais plusieurs formules sont offertes, et aussi plusieurs types d'annonces incluant les parrainages de produits Google et l'outil de recherche Google.

cpa-cpc-cpm Je désirais vous partager cet article qui résume les conclusions d'une étude qui saura alimenter à nouveau l'éternel débat entre la publicité web achetée au CPM (coût par visibilité) et celle achetée à la performance tel qu'au CPC (coût par clic), au CPA (coût par acquisition) et au CPE (coût par engagement).

Aucune surprise de notre côté, mais ce sujet entraîne toujours des débats houleux en table ronde, surtout quand les éditeurs en faveur des tactiques CPC/CPA/CPE sont présents.

Je vous partage un long dossier produit par le magazine MarketingQC en avril 2010, dans lequel j'ai participé. Pour ceux qui sont intrigués par la publicité dans les jeux vidéo, je vous conseille fortement cette lecture. Les marques jouent le jeu Carine Salvi, MarketingQC L’image de l’ado occupant...

Au risque de me répéter, je rêve d’une fonctionnalité ou d’un service offert par l’éditeur Web qui empêche une pub d’apparaître si le contenu de la page pourrait être dommageable pour l’annonceur. Un  éditeur imprimé averti procède manuellement à ce “disaster check”, mais pourrait-on automatiser ce processus sur le Web ?

Voici une autre exécution publicitaire malencontreuse, cette fois-ci la pauvre victime est la Ville de Laval.

Je ne lis plus les quotidiens depuis quelques années. Mon dernier abonnement remonte à quelques années, lorsqu'un agent au service d'abonnement m'a convaincu avec insistance de m'abonner gratuitement pendant quelques semaines afin d'augmenter leur lectorat pendant la période de sondage NadBank.

Je ne lis plus les quotidiens papiers parce que je m'informe autrement. Internet est devenu ma principale source d'information, comme plusieurs personnes de ma génération, d'ailleurs. Internet est accessible 24h/24h, la nouvelle est instantanée, je choisis mes sujets d'intérêt, mes lectures, je commente parfois la nouvelle, etc. Du côté du quotidien, je jette spontanément le 3/4 des cahiers (et des publicités) puisque les sujets ne m'intéressent pas.

QUOTIDIEN PERSONNALISÉ

Les quotidiens ont en effet connu de nombreux bouleversements ces dernières années: l'arrivée des journaux gratuits, la généralisation de la presse en ligne et les changements de comportement des jeunes générations ont bousculé les acteurs traditionnels et fragilisé certains médias.

Ce qui me pousse à me demander si mon comportement changerait si on me livrait quotidiennement un journal dont les sujets me seraient personnalisés. Une sorte de Yannick Times !